Le Zoo
de Gin Phillips
Editions Robert Laffont (Collection La Bête Noire)
Sortie le 21 septembre 2017
304 pages
18,90 euros
Quatrième de couverture :
Le zoo est sur le point de fermer ses portes. Joan et son fils de quatre ans, Lincoln, sont dans leur coin préféré, à l’écart du chemin principal. Ils profitent des dernières minutes. Mais quand ils se dirigent vers la sortie, ce qu’ils découvrent transforme cette journée de rêve en cauchemar : des corps étalés sur l’herbe, des hommes armés de fusils. Sans réfléchir, Joan prend son enfant dans ses bras et court, jusqu’à en perdre le souffle, jusqu’à ce que ses muscles la brûlent.
Pendant trois heures, la mère et son fils vont se retrouver piégés avec les animaux et les tueurs. Pour sauver Lincoln, Joan est prête à tout… même au pire.
L’avis de Ma’Pirate :
Ce roman est le premier thriller de Gin Phillips, auteure américaine.
Le récit commence à 16h55 et se termine à 20h05.
Entre temps, un zoo, des coups de feu, des otages, des victimes et au milieu, une mère Joan et son enfant Lincoln.
Joan va tout faire pour sauver la vie de son fils. Elle va donc faire de ce drame un jeu pour son fils.
C’est émouvant, bouleversant, effrayant et terrifiant.
Joan est LA MAMAN. Celle que tout le monde veut avoir. Dévouée à son enfant corps et âme. Protectrice.
Lincoln est innocent. Il est gentil. Il a quatre ans. « Il obéit toujours à sa mère et il connaît les règles. »
Les terroristes sont des ados perdus et manipulés.
3 heures de calvaire. 3 heures de peur et d’angoisse.
3 heures, c’est court et c’est long à la fois.
En 3 heures, tout est « joué ».
Et à la fin, on dit « Enfin! C’est fini! »
C’est angoissant et malheureusement tellement d’actualité. Toute la lecture, on a une boule d’angoisse et de peur à l’estomac.
On est tellement pris, que la lecture est rapide bien que stressante.
A la fin, je ne sais pas dire si j’ai aimé ce roman ou pas, car j’ai vécu un terrible moment de peur et de stress tellement j’étais dans l’histoire et dans la souffrance de cette maman.
Tout ce que je peux dire, c’est que c’est très bien écrit car on s’identifie vraiment à cette mère. On court, on a peur, on se cache… On a réellement l’impression d’avoir vécu cette histoire.
Il va me falloir quelques temps avant de pouvoir ne plus penser à ce roman et avant de retourner au zoo !!!!!!
Merci à Robert Laffont et La Bête Noire pour ce partenariat!
17 août 2017 à 19 07 16 08168
brr!!! je serais curieuse de le lire tiens… *Anne*
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