Sous son toit
de Nicole Neubauer
Editions Robert Laffont ( Collection La Bête Noire)
Sortie le 19 octobre 2017
432 pages
20 euros
Quatrième de couverture :
Il a du sang sur les mains. Il ne se souvient de rien.
Quand l’avocate Rose Benninghoff est retrouvée morte dans son appartement à Munich, la gorge tranchée, le commissaire Waechter semble tenir le coupable idéal : Oliver Baptiste Junior. Le garçon de quatorze ans était tapi dans le sous-sol de l’immeuble, les mains couvertes de sang. Manifestement battu par son père, un homme que la victime avait fréquenté, Oliver prétend n’avoir aucun souvenir de la soirée qui a précédé le crime.
Par ce rude hiver, le plus froid depuis des années, le commissaire Waechter et son équipe organisent une redoutable chasse à l’homme pour démasquer le meurtrier. Mais le mystère qui entoure Rose, secrète et insaisissable, les ralentit autant que la neige qui recouvre la ville…
Véritable best-seller outre-rhin, le premier volet des enquêtes du commissaire Waechter.
» Nicole Neubauer nous entraîne au bord du précipice où se mêlent amour, vengeance et espoir. » Süddeutsche Zeitung
L’avis de Ma’Pirate :
Je n’ai pas du tout adhéré à ce roman.
432 pages pour en arriver à ce que j’avais deviné presque depuis le début.
Quelle déception!
Pas de suspense.
Pas d’intrigue qu’on a envie de suivre.
Trop de problèmes personnels et professionnels mélangés. Ce qui fait que très rapidement on est lassé.
J’avoue que j’ai lu la fin en diagonale.
Le style est confus, tout comme l’écriture.
Les situations sont peu claires. Et les paragraphes sont mal définis.
Il n’y a pas de transitions entre les différentes parties.
On lit une partie et on se rend compte au bout d’un moment que la fin est une autre partie.
Tout le monde souffre dans ce roman mais on a du mal à s’attacher aux personnages et à leur douleur. En lisant, on a l’impression qu’on étouffe sous le poids de toute cette souffrance.
J’ai lu que ce roman était la quintessence du thriller domestique. Avant de lire le roman, je n’ai pas compris cette critique et après l’avoir lu toujours pas.
Merci à Robert Laffont et La Bête Noire pour ce partenariat!